Vos poèmes d’amour

« Je suis

Je l’avoue

Amoureux

De vous

Avec qui je partage

L’amour

De cet instant« 

 

Joseph ZOBEL

 

Comme Joseph Zobel, vous avez exprimé votre amour…Créé lors de la Semaine de l’Amour, cet espace compile vos plus beaux textes.

LES MEILLEURS TEXTES DE LA SESSION 2021

A la fois calligramme et poème-objet avec rideaux de tulle:

Le poème gagnant de Laura Focqueur

AFFLEUREMENTS DE MON COEUR

Parfois je prends la porte et plus rien ne m’importe

C’est toi qui étais la vie, hélas! Tu es partie

Ton absence éternelle m’affaiblit, m’abrutit

Ma tendre bien aimée, reviens, je t’en exhorte

 

Affleurements de mon coeur, si calmes à l’extérieur

Bouillonnent en chagrin, en tristesse intérieurs

Bouillonnent malgré moi, sous les feux de l’ennui,

De l’angoisse en détresse car tu t’es endormie

 

Que de remords naissants, qui me glacent le sang

Cela me paraît long, comme depuis bien cent ans

Mon Dieu, Mon Dieu panique! Panique vient à mon coeur!

 

Et  à cause de moi, qui n’ai pas eu le temps

Qu’il fallait pour t’aider, te sauver, te hisser

Tu t’en vas, je te vois, dans ce grand océan.

 

Téo Bourgade

 

Tes mots, tes phrases m’attirent

Je t’en supplie, ne me fais pas souffrir

Quand je te vois, je ne vois plus rien autour

Je ne peux me détacher de ton amour

Tes  yeux brillent mais ce n’est pas par ma cause

Ce que je ressens ne peut s’exprimer en prose

 

 

LES MEILLEURS TEXTES DE LA SESSION 2020:

poids contre moi,
toi et moi un mois de mai,
saison florissante sans mais,
repos et ballade,
rien de plus léger, 
amour frêle, 
loin d’un temps de grêle, 
deux chaleurs face à l’été, 
janvier nouvelle année, 
a t’attendre ces soirée d’été, 
où la fatigue me gagnait, 
une journée recommençait,
et toujours ce sourire qui se formait 
et ton regard sur mes lèvres que tu désirais.
                                     Pupella Serena
Est-ce de ta faute ou bien de la mienne
​Si à présent je ne vis que par tes beaux yeux
​Attendre dans l’espérance que tu viennes
​Me semble être un espoir douteux
​J’aspire à t’avoir, tout près de moi
​Et à ne plus songer que par toi
​Mais le sang coule de mes mains
​Lorsque tes épines me piquent, c’est vain
​Suis-je devenue folle, à croire en cet amour ?
​Et pourquoi pas le devenir pour quelques jours

 Maëlle Malanda