Jeudi 24 Novembre, 5 de nos élèves relèveront un défi, celui de traduire un texte proposé par la commission européenne de Bruxelles, textes écrits dans une langue européenne,et qu’ils devront traduire en français.
Ce concours s’adresse a des élèves nés en 2005, désireux de s’essayer au travail rigoureux des traducteurs.
Ce concours a plusieurs objectifs : Tout d’abord promouvoir l’apprentissage des langues, et le métier souvent méconnu de la traduction.
Il permet également de sensibiliser les jeunes européens a l’importance des compétences linguistiques afin de favoriser la communication entre les cultures.
Cette année, le thème de la traduction sera: « Tenir la barre en eaux troubles-ensemble, nous sommes plus forts . »
Quel que soit le résultat, nous serons fiers de nos élèves qui auront relevé ce défi !
Vous trouverez ici tous les renseignements sur le concours:
Le concours Juvenes Translatores
Les textes proposés les années précédentes
Les conseils pour se préparer:
Transmettre un message
La question que tout traducteur doit se poser est: «Comment faire passer le message?» Une bonne traduction doit produire sur le lecteur le même effet que le texte original.
Si l’original vous fait sourire ou éveille votre curiosité, il doit en être de même pour la version traduite. Pour ce faire, le traducteur doit comprendre bien plus que les mots, la grammaire et la structure: il doit saisir parfaitement le message que l’auteur veut transmettre. Un bon traducteur parvient à rendre le contexte, le style et les subtiles nuances de sens.
Des connaissances diverses
La traduction d’un texte sur l’électronique ou la médecine, par exemple, exige des connaissances techniques. Mais pour recréer une rime ou un jeu de mots, il faut comprendre deux cultures différentes et maîtriser des facteurs stylistiques.
Adapter un texte à un nouveau contexte
Chaque langue est indissociable de son contexte culturel, social et géographique. Les traducteurs doivent donc parfois imaginer de nouvelles expressions pour décrire des notions qui n’ont pas d’équivalent dans leur langue. En outre, les textes qui sont très spécifiques à une culture donnée doivent être adaptés afin de les rendre accessibles aux personnes d’une autre culture ou d’un autre espace géographique. C’est ce que l’on appelle la «localisation».
Des langues vivantes
Les mots et expressions évoluent rapidement. Face aux idées et inventions nouvelles et aux nouveaux emplois de termes existants, les traducteurs doivent faire preuve de créativité pour trouver de nouvelles façons d’exprimer ces concepts dans leur langue. Il s’agit d’un des aspects les plus difficiles — mais aussi les plus attrayants — du métier de traducteur.
Il ne suffit pas de rechercher un mot dans le dictionnaire pour en trouver la traduction. En fonction du contexte, le traducteur peut être amené à choisir un tout autre terme.
Envie d’essayer?
Nous voulons vous donner un aperçu du travail d’un traducteur professionnel. Le jury évaluera:
- la précision de votre traduction;
- votre capacité à utiliser les termes adéquats;
- votre capacité à écrire de manière naturelle dans la langue de votre choix (lisibilité générale de votre traduction);
- la créativité des solutions que vous aurez trouvées.